Ce que j'aime à Saint-Denis : L'architecture de certains immeubles, lorsqu'ils sont entretenus, et le patrimoine historique. Dans la gare même on peut accéder sans titre de transport car l'accès est toujours ouvert et les gens qui sortent par le passage interdit gêne les personnes qui veulent accéder aux trains. Mais quel sens on donne à cette différence ? Le questionnaire se compose en 5 parties : votre profil, l'habitat, les modes de transports, l'environnement et l'intégration aux projets d'aménagement.

Le manque de diversité des commerces.

Ce que je reproche c’est qu’à moins qu’elles aient déjà réglé la question du manger, du boire et du toit, ce qui n’est pas évident du tout, beaucoup n’ont aucune chance de s’intégrer et apparemment les élus de St-Denis trouvent ça bien. Ce que j'aime à Saint-Denis : -les différentes communautés qui se "juxtaposent" assez bien !-transports nombreux qui relient la ville à paris-parc de la légion d'honneur/parc de la courneuve-piscines. Il existe un sentiment de fierté chez de nombreux Dyonisiens de voir leur ville évoluer; d'autres l'aiment et veulent la changer : au lieu de la quitter ils en deviennent les citoyens en s'impliquant dans son changement. Le plus saillant dans ce quartier, c’est notamment le proxénétisme : il y est plus élevé que dans les autres quartiers (0,09%).Le quartier nord d’Amiens n’est pas des plus paisibles. La Seine-Saint-Denis fait honneur à sa réputation : c’est sans surprise qu’on la retrouve donc dans les zones où la délinquance est la plus élevée.

Ce que je n'aime pas à Saint-Denis : La violence, les vols, la drogue, la saleté ! Impossible de sortir le soir en famille sans se faire agresser. If you refer to the Formule 1 Saint Denis then I would note that this is not in Paris and is all but useless as a hotel for a tourist who wishes to see Paris. Pétition Charles Michels, rue des bidonvilles, quartier des brochettes, place du ras le bol Ce que j'aime à Saint-Denis : Peu de choses, mais il faut malgré tout apprécier la proximité de la capitale et le prix abordable (tout est évidemment relatif) de l?immobilier. Nous avons eu un petit souci familial (résolu positivement, tout va bien) et un gros souci d’organisation car une partie de la famille est resté à 200 km de Paris et nous avons vu la formidable richesse humaine de St Denis se mobiliser pour nous aider, proposer de rendre service, s’inquiéter… Donc oui, malgré toute la misère qu’on peut voir à St Denis, la saleté, le laisser aller, cette ville recèle des trésors humains qui font qu’on ne peut que s’attacher si on a la chance de les découvrir. J'aime globalement le fabuleux dynamisme de Saint-Denis, dynamisme économique (de nombreux sièges sociaux de grandes entreprises ! Ce que je n'aime pas à Saint-Denis : L'insécurité, les ventes à la sauvette, les agressions verbales et physiques, la disparition d'un commerce normal, la délinquance. 63 Quartiers prioritaires en Seine-Saint-Denis. Histoire, localisation géographique, infra structures routières, ferroviaires, en commun, fluviales et même aériennes (proximité de Roissy, Le Bourget et liens direct sur Beauvais et Orly).La cible de tous les clichés... : Une ville jeune, multiculturelle, où dans l'ensemble les habitants se respectent malgré leurs différences, en tout cas plus qu'à Paris où j'habitais auparavant. Cela passera par le vote bien-sûr, mais que pouvons nous faire de plus ?Je souhaitais également vous dire merci pour ce blog, qui est vraiment qualitatif de par ses articles et ses intervenants, que je trouve aussi très instructif.Le fait d’être un homme est un bon point à St Denis, vous n’êtes à priori pas dans les cibles prioritaires : femmes, personnes âgées, jeunes ado susceptibles d’avoir un portable ou des baskets de marque…Et la difficulté pour beaucoup de Dionysiens tient surtout dans l’inquiétude autour des enfants et leur environnement : scolarité, insécurité, drogues, alcool. Mais ce qui m’inquiète c’est de voir (ou plutôt de vous entendre dire) que ça bouge pas ou peu en terme de commerce, propreté et aménagement (je pense notamment à la rénovation de la gare, la construction des immeubles de bureau…). Donc je loge à Saint-Denis mais j’évite de fréquenter les rues de la ville (sauf pour aller au marché) et quand je veux profiter de la vie urbaine, je vais à Paris qui est à coté.

Ainsi va la vie, cahin-chaos, la nuit, à Saint-Denis. De mon point de vue, une excellente analyse : échec de tous les gouvernements en matière d’immigration et d’intégration.

1. Des jeunes j'en ais croisés, à première vue plutôt sympa voir certains très courtois. Périphérie ou centre, la ville s'efface, change. Leur version : deux "petits" s'apprêtaient à passer à la caisse avec des CD volés. Et Belleville à Paris, par exemple, qui n’est pas parfait et où j’ai des amis qui habitent, il n’y a aucun type de pression communautaire, ou même dans le Marais qui est majoritairement juif d’un côté et homo de l’autre… aucune pression non plus de la part de la population.

J'habite face à une jolie square où on préfère laisser les gens boire et jeter les canettes par terre que mettre un gardien. Je l'ai visité deux/trois fois et j'ose pas y aller encore une fois. Il y a aussi un quartier pavillonnaire, la Mutualité mais un peu excentré !