Durant les années 1950, les maisons de disques commencent à décerner différentes récompenses pour souligner les ventes de leurs artistes respectifs. En Australie, les récompenses sont certifiées par le En Belgique, les récompenses sont certifiées par l'ULTRATOP BELGIAN CHARTAux États-Unis (312 461 184 habitants en novembre 2011), les récompenses sont certifiées par le Il existe une certification particulière pour les albums qui contiennent des chansons en En Finlande (5 259 250 d’habitants en 2011), les récompenses sont certifiées par l'Les niveaux de certification de nouveaux, pour les albums de musique, applicable dès janvier 2010, sont pour les produits nationaux. Généralement, la liste est la suivante :

Les pays qui médiatisent ce genre d’événement commercial imposent arbitrairement leurs certificats, suivant des conditions spécifiques.Pour la France, les quotas sont réglementés et contrôlés par le l'info culturelle des musiques d'hier et d'aujourd'hui La certification porte sur les ventes nettes de disques entre la maison de disques d'une part, et les grossistes et distributeurs d’autre part. )Pour l’artiste, un simple disque d’argent représente déjà une certaine réussite. Différents seuils ont été en usage dans le temps et selon la région, tant pour les albums que pour les singles. Outre la couverture médiatique obtenue lors de la remise d'une certification, elles permettent de communiquer sur le succès de l’œuvre. D’ailleurs, le macaron présent sur l’emballage est là pour souligner l’importance de ce marketing faussement publicitaire… Si les artistes et les producteurs sont contents, les maisons de disques doivent l’être également !

L’usage de macarons pour signaler les certifications obtenues sur l’emballage du disque est un exemple de communication marketing possible à partir des certifications. (NB : à ceux qui seraient tentés de le croire… n’imaginez pas un seul instant que les disques offerts aux artistes soient véritablement en or ou en argent massif et encore moins en platine. Des installations destinées au recyclage existent. Si vous ne savez pas comment activer le 'javacript', vous trouverez des infos utiles en fonction du navigateur que vous utilisez en Quand un album, un single ou un DVD dépassent un certain nombre d’exemplaires, les maisons de production remettent aux artistes une récompense au nom évocateur : disque d’argent, d’or, de platine et de diamant.Suivant une hypothétique valeur boursière, la logique est respectée. Le disque d'or est l'une des récompenses remises aux artistes. En Nouvelle-Zélande, les récompenses sont certifiées par le Au Portugal, les récompenses sont certifiées par l’Aux Pays-Bas, pour les albums de musique pop, les exigences sont de 25 000 exemplaires pour un Pour les albums de musique jazz et classique, les exigences sont de 10 000 copies pour un disque d'or et de 20 000 copies pour un disque de platine.

Rien de plus normal, alors, que ce marketing mis en place par les maisons de disques soit souvent sujet à caution.Pour qu’un artiste obtienne un disque d’or ou de platine, une réglementation reposant sur des quotas a été instaurée.

Ces différences ont mené à des polémiques à propos des meilleurs vendeurs de tous les temps, certaines personnes réclamant que des albums certifiés disque d'or ne soient pas reconnus, allant jusqu'à proposer de reprendre la récompense remise à l'artiste. En saluant médiatiquement un artiste qui se voit décerner un disque d’or ou de platine, c’est tout un système économique, toute une industrie, qui respire !