Fait partie des Tableaux historiques de la Révolution française (1791-1817) : 144 gravures (depuis la transformation des Etats Généraux en Assemblée Nationale le 20 juin 1789). Après un échange avec le député, au cours duquel elle s'informe du sort réservé aux Girondins dénoncés, elle le poignarde à la poitrine, lorsqu'il révèle qu'il les fera tous guillotinés.Charlotte Corday est jugée le 17 juillet à 8 heures du matin: Antoine Fouquier-Tinville est l'accusateur public; son avocat est Claude François Chauveau-Lagarde, présent au tribunal et désigné par le président du Tribunal révolutionnaire, Jacques-Bernard-Marie Montané. Dans une lettre datée du 16 juillet adressé à son père Charlotte Corday écrit: «Charlotte Corday, en faisant le sacrifice de sa vie -Marat très malade est condamné, elle ne fait qu'accélérer sa disparition- entre dans la postérité. Elle souhaitait être représentée par le député girondin Doulcet de Pontécoulant.Elle revendique son crime et utilise son procès comme une tribune politique: elle a agi seule, sans complice, pour le bien de tous. David fut aussi chargé de la mise en scène des funérailles de Marat : « Il a été arrêté que son corps serait exposé couvert d’un drap mouillé qui représenterait la baignoire et qui, arrosé de temps en temps, empêcherait l’effet de putréfaction. Roques n’a pas cherché à montrer un héros serein et intemporel mais bien le rictus de l’homme politique assassiné. Le tableau le plus célèbre peint pour honorer la mémoire de Marat tué dans son bain par Charlotte Corday est celui de David. La composition gagne en intensité ce qu’elle perd en solennité. !Je cherche désespérément des rues, parcs ou lycées baptisés Charlotte Corday.Avec le secret espoir de ramener une certaine concorde sur le territoire..... Charlotte CORDAY mériterait bien la légion d'honneur..... incontestablement mieux que certains aujourd'hui !13 juillet 1793 : Charlotte Corday assassine le citoyen Marat dans sa baignoire«L'assassinat de Marat» peint en 1880 par Jean Joseph Weerts. Elle a prétexté détenir des informations sur des Girondins réfugiés à Caen -considérés comme des traîtres par Marat. Mais Marat, atteint d'une maladie de peau, ne quitte plus son domicile. Joseph Roques, qui fut le maître d’Ingres à Toulouse, traversa sans trop d’ennuis la période la plus troublée de l’histoire de France faisant allégeance tour à tour à la monarchie, à la Révolution, au Consulat, à l’Empire puis à la Restauration. L'entourage de l'homme politique, victime de menaces, le protège. Charlotte Corday, en faisant le sacrifice de sa vie -Marat … HISTOIRE - La mort de Jean-Paul Marat est un évènement marquant de la Révolution française. Mais c'est une modérée: Elle tient un homme personnellement responsable de ces troubles: le journaliste Jean-Paul Marat. Philippe de Champaigne Le Christ mort couché sur son linceul 1654. Elle devient plus tard une héroïne tragique et une figure emblématique de la Révolution française. Immortalisé par de nombreux artistes, il fait entrer les deux protagonistes dans la postérité.«J'ai tué un homme pour en sauver cent mille». Les différents comités révolutionnaires en province firent peindre des hommages à Marat, ce qui explique l’existence de ce tableau à Toulouse. La nouvelle court Paris ce 13 juillet 1793 où le danger est partout pour la Révolution : à l'intérieur, à l'Ouest et aux frontières. Copie (peut-être par un élève de l'atelier, ce qui reste à démontrer) du célèbre tableau de David conservé à Bruxelles (Musées Royaux des Beaux-Arts), cette oeuvre est déposée au musée de la Révolution française à Vizille ; en rapport avec : Anonyme, Mort de Marat, Reims, David, La Mort de Marat, Bruxelles Issue de la petite noblesse, cette descendante directe du poète dramatique Séduite par les idées girondines, elle est devenue républicaine. Est tombé sous les coups d'une horde flétrie. Marat est mort ! " Historique. Après deux tentatives, la jeune femme parvient, en fin de journée, à être introduite auprès de Marat, -qui prend un bain de soufre pour soulager son corps malade. Assassinat de Jean-Paul Marat par Charlotte Corday. La mort de Marat peint par Jacques-Louis David, 1793. Bon orateur, populaire auprès des sans-culottes, Charlotte Corday, estimant que la Révolution prendrait une tout autre orientation sans ce «monstre», prémédite son assassinat.

La mort du Patriote Jean-Paul Marat Député à la Convention Nationale / ~ en 1792 / Légende : Né à Genêve; Assassiné le 13 Juillet, étant dans son bain par Marie-Anne Charlotte Corday, ci devant de St Armont, native de St Saturnin des Ligneries, Département du Calvados ~ Peuple, Marat est mort, l'amant de la Patrie. Et tout particulièrement sa compagne Simone Evrard.Le 13 juillet au matin, Charlotte Corday achète un couteau de cuisine et se rend au domicile de Marat, au 30 rue des Cordeliers (actuellement Rue de l'École-de-Médecine dans le VIe arrondissement). Ainsi, le 9 juillet 1793 elle quitte Caen en diligence pour rejoindre Paris.