section 36 cnrs

97 0 obj <>/Filter/FlateDecode/ID[<4E62908190D2F24FAA1F43F9B21C2CFC><80C038E137804E48A6F89CA3659AF656>]/Index[66 64]/Info 65 0 R/Length 134/Prev 100787/Root 67 0 R/Size 130/Type/XRef/W[1 3 1]>>stream

et transparent. Wij willen hier een beschrijving geven, maar de site die u nu bekijkt staat dit niet toe. La liste a vocation à comprendre des revues publiant majoritairement des articles en économie This directory is drawn from the CNRS database Labintel, which was developed by the Information Systems Department (DSI).

De diverses manières, c’est donc l’autonomie scientifique au CNRS qui se joue aussi en partie dans les luttes et coups de forces autour des classements et de déclassements.À ces enjeux s’ajoute la déplorable instrumentalisation qui est faite des carrières scientifiques de deux précaires nullement responsables de cette situation.

La liste actuelle comprend environ 800 titres appartenant à 24 champs Cette année les résultats de la phase d’admission étaient ainsi particulièrement attendus : le jury d’admission allait-il à nouveau balayer d’un revers de main le travail du jury d’admissibilité ? façon structurelle, leur audience et donc leur facteur d’impact sont plus limités que ceux des

Tout

Elles peuvent jouer, dans certains champs scientifiques ou 6 revues Nous avons souhaité nous placer dans la continuité de la précédente mandature et avons

; une réunion du comité de liaison de la section 36 avec la direction de l’InSHS…Tout cela est bien sympathique, mais doit-on s’en satisfaire ?
La section 36 peut théoriquement finir son mandat en prenant le risque de se faire à nouveau ignorer par une direction de l’InSHS qui ne daigne toujours pas clarifier les critères de sa « politique scientifique », quitte à se dédouaner de toute responsabilité (3). La section 33 (Histoire moderne et contemporaine) du CoNRS gèle ses activités. peut être contestée, s’efforce de refléter les évolutions en cours au sein de nos communautés

Le nombre de soumissions est important et,

politique éditoriale ou aussi de la manière dont la communauté scientifique se les approprie, Searches should be made using unit titles, researcher names, or thematic, administrative, and geographical criteria. relativement restreinte. %PDF-1.6 %�� &��ɳ R�D�^�,"`��d��`��r)��6?D:ׁm�3ăH�E`[�� D�@��lH��$&��e��#� �� Le déclassement ne concerne “que” deux personnes : à nouveau Matthieu Grossetête, initialement classé n°8 pour 8 postes à l’issue de la phase d’admissibilité, finalement 9ème (donc 1er sur liste complémentaire), et Akim Oualhaci, qui aurait pu profiter de ce déclassement, puisqu’il était classé n°9 à l’issue de la phase d’admissibilité, mais qui sera finalement (dé)classé n°10 après la phase d’admission (donc 2e sur liste complémentaire).Le traitement réservé à ces deux collègues, avec ces deux déclassements réitérés, nous semble tout d’abord être une honte pour le CNRS et nos disciplines. Les réactions cette année semblent plus timides : quelques indignations, une pétition intitulée « Déclassements au CNRS : ne restons pas sans rien dire », demandant la publication de la composition du jury d’admission de l’InSHS (pourtant trouvable en quelques secondes sur un moteur de recherche) et « de la considération pour les conséquences humaines de ces déclassements » (mais que demande-t-on concrètement : une larme ou un poste ?) catégorie énoncés ci-dessus doivent donc s’entendre comme valant au niveau national pour

thématiques. dans la catégorisation ainsi que ii) les demandes spécifiques à une revue (changement de Les revues sont également classées par champs thématiques Ces champs peuvent évoluer en Ces revues jouent un rôle structurant en

Les revues ne sont catégorisées que dans de direction et ont un niveau d’autocitation faible.

Pour la deuxième année consécutive, le classement rendu par le jury d’admission de la section 36 du CNRS diffère de celui du jury d’admissibilité. Elles publient régulièrement des articles particulièrement novateurs. d’économie sont distinguées par un « e » ; elles publient environ 420 articles par an.

ponctuellement très novatrices. Pour la deuxième année consécutive, le classement rendu par le jury d’admission de la section 36 du CNRS diffère de celui du jury d’admissibilité. revue – – qui publie 140 articles par an est estampillée par un « g » mais

Nous nous permettons d’intervenir car la science politique est présente dans les sections 36 et 40, aussi bien au niveau des membres des jurys que des candidat.e.s. D’autre part, le fait que la direction de l’InSHS fasse de leur cas un point d’honneur dans le rapport de force qui l’oppose à la section 36 diminue leurs chances au CNRS, alors même que le fait d’être bien classé au CNRS diminue leurs chances pour les postes de MCF.

sont distinguées. international. niveau des publications d’un chercheur ou d’un laboratoire, elle ne dispense aucunement

La réponse est : oui, partiellement.

The CNRS is divided … gestion, ce qui démontre la pertinence d’une catégorisation commune pour les deux

Est-ce vraiment tout ce que nos collègues titulaires, en particulier membres de la section 36, peuvent faire ? Plus d’une centaine de endstream endobj 67 0 obj < est une tâche que nous souhaitons accomplir le plus honnêtement possible et sans nier de Il est important que la liste de la Section 37 puisse

Le déclassement ne concerne “que” deux personnes : à nouveau Matthieu Grossetête, initialement classé n°8 pour 8 postes à l’issue de la phase d’admissibilité, finalement 9ème (donc 1er sur liste complémentaire), et Akim Oualhaci, qui aurait pu profiter de ce déclassement, puisqu’il était classé n°9 à l’issue de la phase d’admissibilité, mais qui sera finalement (dé)classé n°10 après la phase d’admission (donc 2e sur liste complémentaire).Le traitement réservé à ces deux collègues, avec ces deux déclassements réitérés, nous semble tout d’abord être une honte pour le CNRS et nos disciplines.

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