C’est un contre-investissement d’un élément conscient inverse à l’investissement inconscient.Ces formations peuvent être localisées à un comportement ou bien participer d’un caractère général de la personnalité.Cliniquement, une formation réactionnelle possède la valeur d’un symptôme dans la mesure où elle n’est pas l’objet d’une intentionnalité. Arts Lettres Psychanalyse Ethique Société – Institut de Développement et de Recherche sur l'AccompagnementLe mot σύμπτωμα, en grec, signifie « accident », « coïncidence » ; il est constitué du préfixe σύν, Un symptôme, « rencontre », c’est en cela un signe fonctionnel, est un signe clinique qui représente une manifestation d’une maladie, tel qu’exprimé et ressenti par un patient.

Le reproche est masqué et reste agissant. Comment s'opèrent ces déplacements en ce qui concerne l'argent ? Ferdinand de Saussure, expose dans son Cours de linguistique générale, publié en 1916 et qui sera la base de la linguistique structurale, une théorie du signe linguistique dont il montre la division en deux parties : le signifiant comme image acoustique et le signifié comme le concept même. Le signifiant est alors la représentation mentale durable, stockée en mémoire à long terme, d'un stimulus signe en usage dans la langue telle qu'elle est connue par les locuteurs. Les symptômes comme restrictions du moi deviennent des satisfactions. De celle-ci, nul ne prendrait le risqu…

Genèse de l'argent.

En réalité, le symptôme et la défense ne correspondent pas à la même opération.La formation de symptôme correspond prend non seulement la forme de formations de compromis, mais également celle de formations réactionnelles ainsi que de formations substitutives.Une formation réactionnelle correspond à une attitude psychologique telle que celle-ci est l’opposé du désir refoulé. C’est ce paradoxe, cette aporie qu’est le symptôme.Plutôt que de gloser sur le paradoxe, je voudrais reprendre cette idée de Freud selon laquelle le symptôme est tout d’abord une Dès lors, le compromis sera au cœur de toute production de l’inconscient, de tout rêve, de tout symptôme.Ainsi, un symptôme névrotique est « le résultat d’un conflit ».
On retrouve d’ailleurs cette mise en regard du père et du symptôme dans la littérature psychanalytique : le père pervers des premières hystériques de Freud, le père de Hans et sa complaisance, le père d’Ernst Lanzer et son rapport aléatoire à la parole donnée, le père de Dora et son impuissance sexuelle, le père éducateur de Schreber, … Le symptôme est alors, pour reprendre un mot de Marc Strauss, l’index du dysfonctionnement de la métaphore paternelle.Du point de vue du soignant, la première fonction d’un symptôme c’est de permettre d’établir un diagnostic.Les émotions sont la traduction de la nécessité de mouvement, c’est-à-dire de changement pour une meilleure adaptation.

Par le processus de refoulement, le plaisir de satisfaction est transformé en déplaisir et le déplaisir est le résultat d’une satis… Il s’agissait pour celle-ci de vérifier par l’expérience qu’elle a fait, peu ou prou, école.

En général, pour une pathologie donnée, les symptômes sont multiples, il peut y avoir le symptôme d’un symptôme, et parfois il peut ne pas y avoir de symptôme : la maladie est dite dans ce cas asymptomatique.
1 Freud ouvre le champ de la psychanalyse avec ses interrogations sur le symptôme, quand ce sera, pour Lacan, son ultime question.

La représentation et le conflit qu’elle implique sont remplacés par une vertu morale obsessive. En psychanalyse, le symbolique désigne une fonction complexe et latente qui embrasse toute l'activité humaine. Le symptôme est alors le signe de ce ratage, dont l’interprétation se fait dans le cadre du transfert. 2.