Wadjda a 10 ans et un caractère bien trempé. Les acteurs et actrices ne manquent pas de justesse et Waad Mohammed est brillante et attachante dans le rôle-titre! Film magnifique venu d'Arabie saoudite et réalisé par une femme! Mais elle n'a qu'une chose en tête s'acheter un vélo, réserver seulement aux garçons, dans un pays où la religion est omniprésente ce film nous transporte dans un univers jusque là assez méconnu du grand public, un bon film avec des moments de bonheur et de tristesse, à voir, ça change des grosses productions Hollywoodienne!! :) 4,5/5Wadjda est une petite fable tendre mais très didactique sur la difficulté pour les femmes saoudiennes de s’émanciper. J'adore le cinéma iranien, israélien... Wadjda, joliment porté par sa jeune héroïne dénonce assez bien la société patriarcale du pays, sans appui, et délivre tout au long du film ses messages, polygamie, rôle négligeable des femmes, absurdité et manque total de liberté des femmes... La force est de l'avoir fait passer à travers le prisme d'une jeune fille émancipée dont les baskets très présents dans le film symbolisent une société en mutation, et qui ne rêve que d'un simple vélo, réservé aux garçons.... Mais l'ensemble reste un peu lisse à mon goût.

Wadjda ne parvient pourtant pas à convaincre sa mère, qui craint les qu’en-dira-t-on. A voir quand même pour découvrir cette culture très fermée aux femmes mais ne vous attendez pas à une révélation.Wadjda est une comédie teintée d'amertume, qui raconte le choc entre une petite fille rebelle, sur le point de devenir femme, et un ordre établi qui n'a pas prévu d'autre place pour elle que celle d'épouse et mère. . le film est un carton quand on compare au nombre de copies, 80000 spectateurs pour 82 copies, ça fait 1000 spectateur par salle, c'est vraiment beaucoup (et c'est mérité)Je suis sortie en me disant :quel bol j'ai d'être née en France !Beau film à voir ,comme un documentaire autant que pour son scénario,à mon goût . Coup de coeur à la Mostra. Un jour, la petite fille découvre, au détour d’une rue, un vélo vert flamboyant à vendre. !vu aujourd'hui car peu distribué a sa sortie même dans les cinémas engagés.Un peu dans la lignée de "Persépolis" (2007) de Marjane Satrapi, film d'animation autobiographique d'une jeune femme Iranienne, "Wadjda", dimension politique en moins, nous conte l'histoire d'une autre jeune fille, originaire d'un pays moins meurtri mais tout aussi rigide et paradoxal. Grand succès dans tous les sens du terme :DVu!
La fillette, loin d’être dissuadée par les réticences de sa famille, décide alors de gagner l’argent nécessaire pour obtenir le fameux vélo…Wadjda a 10 ans et un caractère bien trempé. A ne pas rater donc! Ma critique en googlant subtilement "Wadjda + Christoblog"Découverte majeure du Festival des Trois Continents 2012. Pleine de vie, téméraire, elle peine à obéir aux principes rigides et conservateurs de sa famille, installée en banlieue de Riyad. Dès ce moment, elle n’a plus qu’une obsession : acheter le vélo et s’en servir pour battre son ami Abdullah à la course. Wadjda a 10 ans et un caractère bien trempé. Quand on est amateur de films d'ailleurs, la tentation de découvrir le cinéma saoudien est tentante car assez rare. Pleine de vie, téméraire, elle peine à obéir aux principes rigides et conservateurs de sa famille, installée en banlieue de Riyad. le concours coranique relève un peu le niveau mais c'est un peu mou pour emballer réellement ! Sa petite Wadjda ressemble à toute fillette, à toute femme (tout individu) bloqué(e) parce que des règles nées des non dits, des usages, lui échappent. Avec en prime une héroïne drôle et qui ne prend rien pour acquis. Dès ce moment, elle n’a plus qu’une obsession : acheter le vélo et s’en servir pour battre son ami Abdullah à la course.