Pour réaliser un portrait dans une pièce dont les plafonds sont bas, l’astuce consiste à diriger la lumière de votre flash vers le plafond et la carte en dehors du flash se chargera de faire rebondir la lumière sur votre sujet de manière à obtenir un résultat doux et séduisant.Et cela vaut pour l’intérieur comme pour l’extérieur. Que vous soyez parents, grands-parents, tonton, tatie, qui n’a pas voulu photographier le quotidien d’un enfant. Si votre flash possède un zoom sur la lampe, comme le flash Gloxy GX-F1000, il faut aussi que vous connaissiez le nombre-guide de votre flash cobra, qui correspond à sa puissance. Pour éviter d’envoyer la lumière uniquement dans l’axe, mais également pour agrandir la taille de la source de lumière.Il vous permet de prendre le contrôle sur tous les réglages du flash. La transition d’une zone lumineuse à une zone d’ombre est très nette et très marquée ce qui laisse apparaître des poches sous ces yeux.Dans cette condition de lumière, la transition entre lumière et ombre est beaucoup plus douce sans forte démarcation.Ici, j’ai juste fait en sorte d’amener la petite Justine à l’ombre d’un arbre pour obtenir cette belle lumière.Prenons un cas concret que tout le monde a déjà rencontré: la photo en plein soleil.Il se trouve très loin de nous. Il y a longtemps déjà qu’elle n’était pas intégrée à tous les flashs mais à présent, elle accompagne systématiquement votre flash.

Ça vous dit ?Je suis née à Liège en 1988. Et, surtout, les résultats sont bien meilleurs et c’est, avouons-le, le principal. Pas de problème, il y a une solution car ce mode automatique autorise les corrections qui consistent à diminuer ou augmenter les stops.Nous pouvons anticiper ces « erreurs » et compenser par 1 ou 2 stops en moins (sous-exposer) quand nous réalisons des portraits nocturnes pour surexposer des objets plus foncés.

Je me dis que, les fêtes approchant, je pourrais commander au père noël un ou deux flash studio. cliquez ici pour télécharger vos bonus gratuitement ! Cet effet se produit parce que notre flash ne dispose pas d’une synchronisation HSS, il n’est donc pas assez rapide pour suivre la vitesse de l’obturateur de l’appareil.Le système HSS ou FP autorise de nombreux clichés car il permet d’éclairer toute la surface du capteur, alors qu’il n’est pas découvert en totalité à l’instant du coup de flash simple, il émet une série d’éclairs très brefs de puissance identique, pendant toute la durée de l’obturation. Vous me direz que vous connaissez une méthode de double flash qui empêche les yeux rouges mais, entre nous, même avec cette astuce, les résultats ne sont pas jolis jolis.Une autre chose qu’il ne faut pas oublier avec les flashs intégrés c’est que, malgré leur rayon d’action limité, il peuvent parfois produire une (trop) grande dose de lumière. Selon le type de flash que nous utilisons, nous pouvons modifier la lumière, un peu, beaucoup, passionnément, pas du tout.Il existe trois types de flashs principaux : les intégrés, les cobras ou les torches et enfin les flashs de studio. Ce dernier mot, « contrôlée »,  est la clé du flash car c’est grâce à une série de paramètres que nous pouvons contrôler la lumière dont nous avons besoin pour éclairer notre élément principal. Ainsi, tout le capteur aura reçu un éclairage identique, et l’exposition au flash redevient possible. : la lumière sera toujours envoyée dans l’axe. Et, comme il se trouve beaucoup plus proche du sujet que le soleil, cette source de lumière sera obligatoirement plus grande et donc la lumière envoyée sur votre sujet sera beaucoup plus douce et flatteuse. On place le modèle devant un fond avec un ou plusieurs flashs qui viendront l’éclairer.Le photographe prend quelques minutes pour régler les différentes sources de lumière pour obtenir l’exposition voulue. C’est le mode idéal pour la photographie sociale, le photoreportage ou la photographie d’événements où chaque geste du photographe doit être rapide et précis. Quel photographe n’a jamais projeté un super flash sur un de ses sujets pour obtenir une de ces images éblouissantes de blancheur ? Dans tous les manuels qui accompagnent les flashs, vous trouverez une échelle de distance qui pourra vous orienter pour savoir quelle distance est atteinte par la lumière du flash sur base de sa puissance et de la position du zoom.Je n’ai pas envie de vous embêter avec des formules mathématiques ennuyeuses alors pour simplifier, disons que plus le nombre-guide est élevé, plus la puissance sera élevée. À chaque fois que vous allez modifier la distance entre vous (plus exactement le flash placé sur votre boitier) et votre sujet, il sera nécessaire d’ajuster la puissance manuellement en plus de gérer les réglages de l’appareil photo.Ce qui, vous en conviendrez, devient vraiment ingérable en conditions réelles.