Un événement que la mondialisation a offert à la contestation des Occidentaux. Mais même si l’on en parle moins, on mange encore du chien (et/ou du chat) dans des pays comme l’Allemagne et …
Il énumère une liste d'animaux pouvant être élevés pour leur viande, leur fourrure ou à des fins médicales. Les chiens et les chats n'en font pas partie.La consommation de leur viande n'est pas illégale en Chine, mais elle reste extrêmement minoritaire et suscite une opposition croissante de la population. fromage moisi et pues sans parlé des traitements contestables dans les abattoirs....On reproche aussi aux chinois la cruauté dans la mise à mort de l'animal...nos animaux chiens et chats sont nos compagnons ils n ont pas a etre manger L'interdiction c'est une chose, le respect des interdictions c'est une autre affaire.Enfin!! Quand est ce que le gouvernement chinois interdira ces marchés d'animaux sauvages sans contrôle sanitaire ? Un groupe de chiens sauvés d’un abattoir de chiens à Yulin, en Chine, avant le début du festival de la viande de chien, en juin 2018. Journaliste à la RTS, Magali Philip y a ironiquement répondu sur Twitter :Coucou la France, parce qu'il y a une méchante rumeur qui tourne: Non on mange pas des chats à Noël, mais par contre les dauphins...Selon cette association de défense des animaux, quelques Suisses réduisent encore les chiens en saucisses et cuisinent les chats est interdit d'exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques ainsi qu'envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité." Mais ce commerce avait rapidement repris.Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?Pauvres chiens et chats, si le virus peut servir a arrêter ce massacre, ça aura servi au moins à quelque chose En France : c’est le lapin, le cheval, les escargots, les grenouille,les cervelles, les langues des bœufs, museau et pied de porc, des humains a rungis? Après Shenzen, première ville chinoise à interdire de manger du chien au début du mois, cette interdiction pourrait être étendue à tout le pays. "C'est la première fois que le gouvernement chinois stipule que les chats et les chiens sont des animaux de compagnie et non destinés à la consommation", s'est félicitée jeudi dans un communiqué l'association américaine Humane Society International (HSI).Cette dernière estime que 10 millions de chiens sont tués chaque année en Chine pour leur viande. Les chats et les chiens, dont la viande est consommée par une minorité de Chinois, ont été exclus pour la première fois d'une liste officielle des animaux comestibles qui doit faire l'objet d'une réglementation de Pékin.Le texte, soumis à commentaires jusqu'au 8 mai, a été publié mercredi par le ministère de l'Agriculture et des Affaires rurales. En Chine, le gouvernement interdit pour la première fois la consommation de viande de chat et de chien. Conséquence de l’épidémie de coronavirus, la ville de Shenzen vient d’être la première en Chine à interdire de consommer de la viande de chien et de chat. La Chine n'est pas un cas isolé. Des Suisses mangent encore, à l'occasion, du chien et du chat, affirme une association helvétique qui réclame l'interdiction de cette pratique. Il y a quelques mois, la romancière Jeanette En Suisse, la publicité faite, à l'étranger, à une pratique extrêmement marginale (mais pas interdite) a interloqué plus d'un citoyen. Et dans le reste du monde ?
Manger de la viande de chien et chat fait partie de la culture culinaire de nombreux pays et notamment asiatiques (Viêt Nam, Corée, Chine, chrétiens d'Indonésie). Et en France, a-t-on le droit de manger son animal préféré ? Une association suisse, Jointe par francetv info, la Société protectrice des animaux (SPA) répond quEn définitive, si aucun texte ne prohibe de façon spécifique la consommation de chien ou de chat, il est explicitement interdit de les tuer ou de les commercialiser à cette fin. Des milliers de canidés sont notamment abattus durant le festival de la viande de chien de Yulin (sud), dans des conditions jugées cruelles par les défenseurs des animaux, les quadrupèdes étant battus à mort voire ébouillantés vivants.Cette décision intervient après l'interdiction en février du commerce et de la consommation d’animaux sauvages, une pratique suspectée dans la propagation du nouveau coronavirus.Le commerce d’animaux sauvages avait également été interdit lors de la crise du Sras (syndrome respiratoire aigu sévère) en 2002-2003, un coronavirus dont la transmission avait également été liée à la consommation d’animaux sauvages.