S’agissant du prix de vente, celui-ci, selon la même source, « doit être fixe, non soumis à révision et mise à jour ».

« Billets d’avion et notes au ministère français de la Défense : Amar Belhimer rattrapé par son passéRelance économique: Abdelmadjid Tebboune veut réduire la dépendance aux hydrocarburesAli Bensaad à Amar Belhimer : “il faut aller à la justice pour laver votre honneur”Chekib Drareni demande aux autorités algériennes de libérer « immédiatement » son frère KhaledMarche du hirak à Kherata (Bejaïa) : La mobilisation était au rendez-vousLa diaspora algérienne dénonce la condamnation du journaliste Drareni, appelle à la libération de tous les détenusConstantine: 3 ans de prison ferme requis contre Abdelkrim ZeghilecheL’Ambassadeur des Etats-Unis rend une visite d’adieu à TebbouneÉdité par EURL INTERLIGNES MEDIA | Copyright © 2019© DR | Transport aérien et maritime : le secteur sera ouvert au privé Mais le groupe s’est effondré vite comme un château de carte.L’expérience était finalement une grosse arnaque et l’affaire a été traitée par la justice. Le cahier des charges pour l’importation de véhicules neufs n’est toujours pas prêt. L’Algérie reprendra bientôt l’importation des véhicules neufs. Cela s’est produit au début des années 2000, à savoir celle de Khalifa, devenant par la suite le plus grand scandale financier en Algérie.A l’époque, Abdelmoumene Khalifa, s’est lancé dans le transport aérien avec la création de Khalifa Airways et le secteur bancaire avec le lancement de Khalifa Bank. Tandis que pour l’acquisition des usines usagées, “l’outil de production acheté doit être viable, acquis produit en main, et n’ayant pas servi plus de cinq (05) ans au jour de son acquisition”.

Il prévoit également qu' »un partenaire ou un actionnaire ne peut réclamer plus d’une licence », « lLe cahier des charges stipule aussi « le retrait du registre en l’absence de prolongation exceptionnelle après le délai supplémentaire », « d« Les véhicules importés doivent répondre aux normes de sécurité et d’environnement », stipule encore le cahier des charges, ajoutant qu’il faut « fSelon la même source « l’importation de voitures est interdite pour le compte d’autres importateurs en dehors de leur réseau de distribution », ajoutant que « l« La période entre la date de fabrication et la date d’entrée sur le territoire national ne doit pas dépasser 12 mois », stipule le texte, en précisant que « lLe cahier des charges exige le « développement d’un réseau de distribution national dans une période maximale de 24 mois à compter de la date de réception de la licence ».

Echaudées par cette affaire, les autorités algériennes ont alors refusé toutes demandes, notamment celle émanant de l’Organisation mondiale du Commerce (OMC) d’ouvrir le secteur du transport aérien notamment au privé.La loi algérienne impose aussi le monopole de l’Etat sur ce secteur. Ainsi, selon la même source, le cahier des charges en question stipule : « Le concessionnaire automobile a droit à une licence unique »; « Le concessionnaire automobile n’a le droit de représenter que deux marques ».Concernant les délais de livraisons des véhicules aux clients, le délai de livraison ne doit pas dépasser 45 jours pour les voitures, et ne doit pas dépasser 90 jours pour les camions, remorques et les engins mobiles, précise le cahier des charges, soulignant que « prolonger les délais de livraison par un accord formel écrit entre les deux parties ».

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Le texte précise que « les factures de véhicules neufs importés sont émises par le premier constructeur ».

Selon le quotidien arabophone Ennahar, le document comporte une série de conditions fixées par le gouvernement algérien pour les investisseurs désirant se lancer dans le domaine. Cependant, le président Abdelmadjid Tebboune ne fournit davantage de détails sur les procédures à suivre pour mettre en œuvre cette ouverture des deux secteurs à l’investissement privé.Il est à rappeler que l’Algérie n’a eu qu’une seule expérience du genre.