POINT DE SITUATION | ALLEMAGNE. Mais les cadences ont été ralenties et le nombre des employés présents sur les chaînes de production a été limité au strict minimum.

Le gouvernement avait rapidement approuvé une série de mesures pour améliorer les conditions de travail dans les abattoirs : davantage de contrôles, régulation du temps de travail et qualité minimum du logement.
Partager. Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, plusieurs abattoirs ont été identifiés comme des foyers de contamination en Allemagne. Le ministre du Travail Hubertus Heil (SPD) avait alors renforcé les contrôles et interdit entre autres ces contrats de travail douteux.

Des centaines de personnes avaient été contaminées. L'irruption du virus au sein de cette puissante entreprise familiale de Westphalie qui représente 30 % de part du marché de la viande en Au mois de mai déjà, le virus avait fait des ravages dans d'autres abattoirs de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, du Bade-Würtemberg et du Schleswig-Holstein. D’abord parce qu’elle concerne le plus grand abattoir d’Europe, possédé par la société Tönnies, près de la ville de Gütersloh, dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. En temps normal, 20 000 porcs y sont, par exemple, abattus chaque jour. S'il est prouvé que les basses températures, l'humidité et le confinement de plusieurs personnes incapables d'observer la distanciation de 1,5 m nécessaire dans les réfrigérateurs géants favorisent la propagation du coronavirus, les conditions de travail et l'hébergement extrêmement rudimentaire de la main-d'œuvre à bas prix employée par Tönnies sont sans aucun doute des facteurs déterminants supplémentaires. Depuis 2017, Robert Tönnies plaide pour un changement de cap radical dans la gestion de l'entreprise. Armin Laschet, ministre président de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et candidat à la succession d'Angela Merkel, a ouvertement soupçonné ces travailleurs d'Europe de l'Est d'avoir « importé le virus ».

Les hommes et les femmes venus d'Europe de l'Est devaient être informés dans leur langue natale sur leurs conditions de travail. L'oncle, Clemens Tönnies (64 ans), et le neveu, Robert Tönnies (42 ans), sont propriétaires de l'entreprise à 50 % chacun.

Ils devraient être abolis le 1Cette vilaine affaire a aussi déclenché un mini-scandale politique.

En conséquence, la Rhénanie-du-Nord-Westphalie a prononcé le reconfinement de deux cantons jusqu’au 30 juin. (©Illustration/ Adobe) Que se passe-t-il dans la commune de Rheda-Wiedenbrück, près de Münster en Allemagne ? Depuis le début de la pandémie, les abattoirs allemands se révèlent être de redoutables foyers de contamination.

Mais, cette fois, l’affaire suscite une inquiétude particulière. Armin Laschet, ministre président de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie et candidat à la succession d'Angela Merkel, a ouvertement soupçonné ces travailleurs d'Europe de l'Est d'avoir « importé le virus ». Ce dernier restera connecté avec ce compte.Non. Beaucoup de travailleurs intérimaires sous contrat de travail rudimentaire à durée déterminée viennent des pays de l'Est, de Bulgarie, de Pologne et de Roumanie. Pour le moment, les employés de Tönnies sont confinés à l'intérieur de l'usine qui devrait continuer de tourner pendant quelques jours, le temps d'abattre et de transformer les bêtes qui s'y trouvent encore. Allemagne : le plus grand abattoir d'Europe touché par l'épidémie de coronavirus, plus d'un millier de salariés contaminés. Dans les prochains jours, l'ensemble des salariés de l'entreprise, soient 5 350 personnes supplémentaires, sera testé. L'inquiétude monte. Cette fois-ci, c'est Tönnies, le plus grand abattoir d'Europe, qui est massivement touché. Surtout, un énorme foyer de plus de 1 500 cas a encore été identifié mardi dernier dans le plus grand abattoir d’Europe à Rheda-Wiedenbrück. À terme, le gouvernement prévoyait de supprimer ces contrats intérimaires. Par Râleur & fainéant Son oncle refuse obstinément. ... virus a brusquement bondi et un énorme foyer de plus de 1 500 cas a encore été identifié il y a deux semaines dans le plus grand abattoir d’Europe à Rheda-Wiedenbrück.

Après la réouverture des frontières au début du mois, nombreux sont ceux qui sont rentrés au pays pour rendre visite à leur famille. Par Aspie Rine L'opposant Navalny va être transferé en Allemagne samedi matinL'OMS espère en finir avec la pandémie "en moins de deux ans"Les grands moments d'une convention démocrate inéditeCoup d'Etat au Mali: les putschistes acclamés par la foule à BamakoCanada : ils fabriquent de la bière à partir d'eaux uséesBiden soutenu par des démocrates unis, Trump attendu la semaine...Belarus: la cheffe de file de l'opposition défie LoukachenkoMali : « Le contexte ne permet pas aux militaires de s'installer au...Virus: le Liban se reconfine, 100 millions de personnes menacées...Turquie : après Sainte-Sophie, une nouvelle église transformée en...Mali: l'ONU a eu accès au président Keïta, la junte libère deux...Israël secoué par le viol présumé d'une adolescente par 30 hommesAprès Sainte-Sophie, la Turquie reconvertit une autre ex-église en...Amérique latine: 250.000 morts du Covid-19, graves reculs...Brésil : quand Bolsonaro confond un homme de petite taille avec un...Joe Biden appelle l'Amérique à tourner la page d'une "période sombre"La chute inéluctable du président malien Ibrahim Boubacar KeïtaCôte d'Ivoire : cette interdiction de manifester qui tend le climat...La Malaisie enquête un an après la mort d'une adolescente...Joe Biden : la «  lumière » contre les « ténèbres »Pour sa condamnation, le tireur des mosquées de Christchurch sera...Le Covid-19, un fléau de plus dans les prisons du BrésilEquateur: des escadrons "Covid" pour éviter un nouveau chaos mortuaireBannon, ex-conseiller de Trump, accusé de détournement de fondsCorée du Nord : sous pression, Kim Jong-un se tourne vers sa sœur