Ces espaces canins dédiés sont plus où moins aménagés (corbeilles, distributeurs de sachets, fontaine à eau, jeux adaptés) sont prisés des propriétaires de chiens vivant en milieu urbains.De plus, ces espaces propices aux rencontres entre chiens ont une importance notable en ce qui concerne la sociabilisation entre eux et avec d’autres humains.Merci de vérifier votre boite de réception ou votre répertoire d’indésirables pour confirmer votre abonnement.REGLEMENT SÉCURISÉ PAR MANDAT ADMINISTRATIF OU VIREMENT BANCAIRE SERVICE CLIENT DISPONIBLE ET REACTIF POUR TOUTES VOS DEMANDES ! Nice, au 5e rang national des villes amies des chiens, selon un classement élaboré par 30 millions d’amis. Pour la 3ème année consécutive, le magazine 30 Millions d’Amis publie son classement des villes françaises de plus de 100 000 habitants où il fait bon vivre avec son chien. Vous trouverez une vidéo de leur dernière campagne en suivant ce lien : Ci-dessous une affiche de la métropole. Comme chaque année, le magazine 30 Millions d’amis vient de faire paraître son palmarès des villes les plus "dog-friendly", c’est-à-dire des communes où il fait bon vivre avec son chien. D’autres interdisent seulement les gros chiens ou les tolèrent avec une muselière.Les villes de Saint-Étienne ou Montpellier ont fait le choix contraire. Seules Montpellier, Toulon, Saint-Etienne et Toulouse la devancent. La France aime les chiens et ces derniers le lui rendent bien. Toulouse reste dauphine du classement tandis que Toulon se hisse à la troisième (6ème en 2018). Notre classement des villes où il fait bon vivre avec son chien a été primé lors des Trophées Promojardin, réunissant les professionnels du monde du jardin et de l’animal de compagnie. Cette année encore, c’est la ville de Montpellier qui se remporte la première place.Toulouse reste dauphine du classement tandis que Toulon se hisse à la troisième (6ème en 2018).Ce sont donc 42 communes, certaines pour la premières fois, qui ont répondu aux questions des enquêteurs.Parmi les critères de notation, on retrouve l’accessibilité aux différents espaces, la propreté, et le niveau de sensibilisation des habitants.De manière générale, c’est toujours le problème des déjections qui est présenté comme étant le frein majeur à l’intégration de l’animal en ville, bien avant les éventuelles questions de sécurité ou le besoin d’espaces.Nous avions déjà évoqué ce problème des crottes pour les villes dans un Cette question de propreté est donc traitée prioritairement par les communes, de manière plus ou moins efficace en fonction du budget alloué mais surtout en fonction de l’investissement y étant consacré.Les communes de Paris, Marseille et Lyon, pourtant les trois plus grandes villes françaises, sont régulièrement montrée du doigts pour leur inaction.Celle-ci dépensent pourtant des sommes importantes dans la communication préventive via des affiches, flyers, encarts dans la presse locale etc. Elles autorisent depuis des années l’accès aux transports en commun pour les propriétaires de chiens. Cette année encore, c’est la ville de Montpellier qui se remporte la première place. On retrouve également le même slogan pour les mégots de cigarettes ou encore les décharges sauvages.Les villes qui se hissent en haut du classement sont allées bien au-delà de la simple question de la propreté. En 2018, Paris a déboursé 25 000 € pour s’offrir les services d’un éducateur canin qui va à la rencontre des propriétaires de chiens dans la rue pour les sensibiliser au ramassage.Autre exemple à Lyon où la métropole GRAND LYON communique très régulièrement sur le sujet, mais au détriment de l’installation d’équipements. En effet celles-ci confient que le canin est l’affaire de nombreux services  : propreté, transport, espaces verts, urbanismes, sécurité, etc.Prenons l’exemple des transports en commun : il n’est pas rare de constater des politiques très différentes.De nombreuses villes en interdisent l’accès aux chiens mêmes tenus en laisse, d’après elles pour des questions de sécurité. Bilan de l’opération : “aucun accident n’est à déplorer” confie l’adjointe au maire de Montpellier.Toujours pour les transport, la ville de Paris demande aux propriétaires de gros chiens de prendre un ticket pour voyager… Mais ce n’est pas le cas pour les petits chiens qui peuvent tenir dans les bras ou un panier.Même si la présence de canisites (espaces fermés dédiés aux déjections) est un dés critères de notation, les propriétaires de chiens cherchent désespérément des espaces où ils peuvent détacher leur compagnon pour jouer avec eux.En effet les espaces verts et pelouses des centre-villes sont bien souvent interdits aux chiens, ce qui ne facilite pas la tâche des propriétaires pour les balades.En réponse à cette demande grandissante, on observe depuis quelques temps la naissances de CANIPARCS.
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Découvrez quelles sont les villes qui rendent la vie plus douce aux maîtres de chien et à leur compagnon… Dans un communiqué, la fondation 30 Millions d’Amis salue « la création par la ville d’une délégation à la condition animale, l’octroi de subventions à de nombreuses associations de protection des animaux » ou encore… « la mise en place d’une campagne de stérilisation pour maîtriser les populations de chats errants. Publié depuis 2016 par le magazine 30 Millions d’amis, ce classement passe au crible les politiques d’intégration du chien des 42 plus grandes villes de France.